jeudi 29 novembre 2018

Rémunération hebdomadaire moyenne au Canada en septembre 2018




Rémunération hebdomadaire moyenne au Canada en septembre 2018


Source : Statistiques Canada

La rémunération hebdomadaire moyenne des employés salariés non agricoles s'est établie à 1 004 $ en septembre, un montant presque inchangé par rapport au mois précédent. Comparativement à 12 mois plus tôt, la rémunération a augmenté de 1,8 %.

En général, la variation de la rémunération hebdomadaire s'explique par divers facteurs, y compris la croissance des salaires, les variations de la composition de l'emploi par secteur, par profession et par niveau d'expérience, ainsi que le nombre moyen d'heures travaillées par semaine.

En septembre, les employés salariés non agricoles ont travaillé en moyenne 32,5 heures par semaine, en baisse par rapport à 32,8 heures le mois précédent et à 32,7 heures en septembre 2017.

Graphique 1: Variation sur 12 mois de la rémunération hebdomadaire moyenne et du nombre moyen d'heures travaillées par semaine


Rémunération hebdomadaire moyenne par secteur

Comparativement à septembre 2017, la rémunération hebdomadaire moyenne a augmenté dans 5 des 10 principaux secteurs d'activité, le commerce de détail venant en tête.

 Parallèlement, la rémunération a diminué dans le secteur de la fabrication et a peu varié dans les services administratifs et services de soutien, la construction, les soins de santé et l'assistance sociale, ainsi que les services d'enseignement.


 Graphique 2: Variation sur 12 mois de la rémunération hebdomadaire moyenne dans les 10 principaux secteurs, septembre 2018

Dans le commerce de détail, la rémunération hebdomadaire moyenne a augmenté de 6,8 % par rapport à 12 mois plus tôt pour atteindre 603 $.

La hausse a été observée dans bon nombre de sous-secteurs, notamment dans les magasins d'alimentation, chez les concessionnaires de véhicules et pièces automobiles ainsi que dans les magasins de marchandises diverses.

La majeure partie de cette hausse s'est produite entre septembre 2017 et mars 2018, la rémunération ayant peu varié en septembre 2018 par rapport à mars 2018.

Dans le cas des employés salariés travaillant dans les services professionnels, scientifiques et techniques, la rémunération s'est établie à 1 393 $ en septembre, en hausse de 3,6 % par rapport à septembre 2017.

La majeure partie de cette hausse s'explique par un nombre accru d'employés travaillant dans le secteur de la conception de systèmes informatiques et services connexes, qui est un secteur bien rémunéré, ainsi que par la croissance de la rémunération dans les services d'architecture, de génie et services connexes.

Comparativement à 12 mois plus tôt, la rémunération dans les services d'hébergement et de restauration a progressé de 3,3 % pour s'établir à 403 $.

La hausse est principalement attribuable aux restaurants à service complet et aux établissements de restauration à service restreint.

Dans le commerce de gros, la rémunération hebdomadaire moyenne a augmenté de 1,7 % pour atteindre 1 228 $.

La croissance est principalement attribuable à la hausse enregistrée au Québec et en Ontario, mais elle a été atténuée par une baisse en Alberta.

La croissance de la rémunération dans ce secteur à l'échelle nationale est essentiellement attribuable à la progression de l'emploi dans le commerce électronique de gros entre entreprises, et agents et courtiers, suivie de la hausse de la rémunération chez les grossistes-marchands d'articles personnels et ménagers et chez les grossistes-marchands de produits alimentaires, de boissons et de tabac.

Les employés salariés des administrations publiques ont touché une rémunération hebdomadaire moyenne de 1 307 $ en septembre, en hausse de 1,7 % par rapport à 12 mois plus tôt.

Cette augmentation est principalement attribuable à l'administration publique fédérale, ainsi qu'aux administrations publiques provinciales et territoriales, et elle coïncide avec le renouvellement de plusieurs conventions collectives.

Chez les employés salariés du secteur de la fabrication, la rémunération hebdomadaire moyenne s'est établie à 1 090 $, en baisse de 1,4 % par rapport à 12 mois plus tôt.

Malgré une hausse notable dans la fabrication de produits chimiques, des baisses ont touché de nombreux sous-secteurs, notamment la première transformation des métaux.

L'essentiel de la baisse dans ce secteur a été observé en Ontario et à Terre-Neuve-et-Labrador.

Rémunération hebdomadaire moyenne par province

Au cours de la période de 12 mois ayant pris fin en septembre, la rémunération hebdomadaire moyenne a augmenté dans la plupart des provinces, l'Île-du-Prince-Édouard et la Colombie-Britannique venant en tête.

 Au cours de la même période, la rémunération a peu varié en Saskatchewan, en Alberta et à Terre-Neuve-et-Labrador.


Graphique 3: Variation sur 12 mois de la rémunération hebdomadaire moyenne par province, septembre 2018

Comparativement à 12 mois plus tôt, la rémunération hebdomadaire moyenne à l'Île-du-Prince-Édouard a augmenté de 2,7 % pour atteindre 839 $. La hausse est principalement attribuable aux services administratifs et services de soutien.



 Graphique 4: Rémunération hebdomadaire moyenne (y compris les heures supplémentaires) par province, septembre 2018

·       En Colombie-Britannique, la rémunération hebdomadaire moyenne a progressé de 2,7 % pour atteindre 978 $, et l'essentiel de cette progression a eu lieu entre mai et août. La croissance la plus élevée a été observée dans le secteur de la construction ainsi que dans le secteur de l'information et de la culture.

·       Au Manitoba, la rémunération a augmenté de 2,4 % pour atteindre 939 $. La hausse a été observée dans plusieurs secteurs, notamment celui de l'information et de la culture, qui a le plus contribué à cette hausse.

·       Chez les employés salariés de l'Ontario, la rémunération hebdomadaire moyenne a progressé de 2,2 % pour atteindre 1 025 $. Plusieurs secteurs ont enregistré une hausse, notamment celui des services professionnels, scientifiques et techniques, qui a le plus contribué à cette hausse.

·       Au Québec, la rémunération a augmenté de 2,0 % pour s'établir à 928 $, le secteur de la construction étant celui qui a contribué le plus à cette augmentation. Si bon nombre de secteurs ont connu une hausse de la rémunération, le secteur des services publics — qui est un secteur hautement rémunéré — a enregistré une baisse, ce qui a eu un effet modérateur sur la hausse globale de la rémunération.

·       Au Nouveau-Brunswick, la rémunération a augmenté de 1,6 % pour atteindre 915 $ en septembre, et la majeure partie de cette augmentation a eu lieu de juillet à août. Les hausses les plus marquées ont été enregistrées dans les administrations publiques, le commerce de détail et le commerce de gros.

·       En Nouvelle-Écosse, les employés salariés ont vu leur rémunération augmenter de 1,1 % pour atteindre 879 $ au cours de la période de 12 mois ayant pris fin en septembre. Le commerce de détail a contribué le plus à cette augmentation.

Emploi salarié non agricole par secteur

Le nombre d'employés salariés non agricoles a peu varié en septembre par rapport à août. Les hausses mensuelles les plus marquées ont été enregistrées dans les services administratifs et services de soutien, les administrations publiques, ainsi que le transport et l'entreposage.

Parallèlement, le nombre d'emplois salariés a diminué le plus dans le commerce de détail.

Comparativement à septembre 2017, le nombre d'employés salariés a augmenté de 301 400 (+1,8 %).

La plupart des secteurs ont connu une hausse, notamment le secteur des soins de santé et d'assistance sociale (+56 200 ou +2,9 %), le secteur des services professionnels, scientifiques et techniques (+36 300 ou +4,0 %) et le secteur des services d'enseignement (+34 100 ou +2,6 %).

À l'opposé, les baisses les plus marquées ont touché le commerce de détail (-8 300 ou -0,4 %) et le secteur de l'information et de la culture (-6 100 ou -1,8 %).









mercredi 28 novembre 2018

Les ventes de voitures neuves sont fortes, Période difficile à l’horizon pour les véhicules d’occasion.

Les ventes de voitures neuves sont fortes,
Période difficile à l’horizon pour les véhicules d’occasion.
Source : Auto Remarketing
Aucun doute à ce sujet: les ventes de voitures neuves sont restées fortes ce mois-ci, bien qu’elles aient légèrement diminué par rapport à celles de l’année précédente.
Mais il y a des vents contraires de plus en plus rapides, y compris ceux provenant du marché des voitures d'occasion.
Premièrement, les mesures relatives aux voitures neuves attendues ce mois-ci:
Selon Cox Automotive, les 1,36 million de ventes de véhicules neufs (y compris les parcs) prévues pour novembre représenteraient une diminution de 2,6% par rapport à l'exercice précédent et un niveau comparable à celui d'octobre.
Il est à noter que, il y a un an, le meilleur mois de novembre pour les ventes de voitures neuves était de 1,39 million, un niveau qu'il est «possible» d'atteindre ce mois-ci, a déclaré Cox, tout en atteignant un record SAAR de novembre (17,9 millions, en 2015) serait plus difficile en raison des ajustements saisonniers.
La société fixe le taux annualisé corrigé des variations saisonnières à 17,1 millions d’euros pour ce mois de novembre. En novembre 2017 et en octobre de cette année, il était de 17,5 millions.
Cependant, la projection de ce mois-ci est au même niveau que la moyenne annuelle de la SAAR pour 2018, ont déclaré les analystes de Cox.
"Le marché continue de surperformer nos prévisions antérieures, les vents contraires prévus étant compensés par d'autres facteurs de marché", a déclaré Charlie Chesbrough, économiste principal de Cox Automotive, dans un communiqué de presse.
«En ce qui concerne l'avenir, les problèmes d'accessibilité financière - dus à la hausse des taux d'intérêt, à la faiblesse de la construction de maisons et à la volatilité du marché boursier constituent des obstacles de plus en plus importants à surveiller. Cependant, les ventes en 2018 dépasseront les 17 millions, ce qui représente un marché très fort », a-t-il déclaré.
 "Combien de temps ce rythme continue est la question clé."
Et c’est un facteur qui peut être influencé par divers «risques» qui pourraient survenir, y compris certains risques d’origine, parmi d’autres facteurs liés aux taux d’intérêt et aux tarifs.
Le «crédit-bail agressif» de ces dernières années n'a pas seulement engendré des millions d'unités louées sur le marché. Ce sont des voitures «douces» et riches en contenu, a déclaré Cox.
«Le volume de véhicules non loués devrait atteindre un sommet en 2019, et de nombreux acheteurs potentiels de véhicules neufs seront attirés par cette alternative de valeur», ont déclaré les analystes.
Plus loin dans le rapport, ils ont approfondi certains des impacts spécifiques aux segments de la voiture.
Dans les couloirs de vente aux enchères, le changement de goût des consommateurs pour les croisements et la forte offre de voitures louées à bail ont entraîné une chute des prix des segments de la voiture ces dernières années, a expliqué Cox Automotive.
Les voitures étant une option aussi peu coûteuse sur le marché de l’occasion, cela a contribué à freiner la demande de voitures du nouveau côté.
«Cependant, les prix des voitures d'occasion augmentent maintenant et à un rythme plus rapide que certains autres segments», ont déclaré les analystes de Cox.
"En conséquence, les voitures d'occasion ne sont pas tout à fait les bonnes affaires qu'elles étaient en début d'année, et certains acheteurs du segment des voitures pourraient décider d'acheter des voitures neuves plutôt que des voitures d'occasion."

Les travailleurs bilingues Un investissement rentable au Canada


Les travailleurs bilingues
Un investissement rentable au Canada

Source : Radio-Canada

Les Canadiens bilingues hors Québec contribuent davantage au produit intérieur brut (PIB) que les unilingues, selon une nouvelle étude de l'Association des collèges et universités de la francophonie canadienne (ACUFC).

Cette situation est notamment attribuée à la forte proportion de diplômés universitaires bilingues, qui ont souvent accès à de meilleurs revenus.

« Cette étude démontre clairement la nécessité de l’enseignement postsecondaire et du rôle que doivent jouer les collèges et les universités de la francophonie canadienne dans la formation d’une main-d’œuvre bilingue qualifiée qui participe à l’essor économique du Canada », déclare la directrice générale de l’ACUFC, Lynn Brouillette.
« La contribution des bilingues hors Québec au PIB du Canada hors Québec se chiffre à 134,8 milliards de dollars canadiens, un montant éloquent qui prouve que les gouvernements doivent continuer à financer et à soutenir l’éducation postsecondaire en français, hors Québec, mais également à en accroître l’accès », ajoute-t-elle.
Plus de richesses
Les bilingues créent généralement plus de richesses que les unilingues anglophones dans presque toutes les provinces hors Québec, selon des données de Statistique Canada analysées par l’ACUFC.
La différence la plus marquée est observée à Terre-Neuve-et-Labrador, où le PIB des bilingues dépasse celui des unilingues de 14 000 $.
C’est au Nouveau-Brunswick que la contribution des bilingues se fait le plus sentir, avec près de 40 % du PIB de la province.
Seules la Saskatchewan et l’Alberta observent des revenus engendrés par les bilingues légèrement inférieurs à ceux des anglophones unilingues.
De la même façon, les bilingues sont davantage présents sur le marché du travail. Ils sont également moins susceptibles d’être au chômage que les unilingues.

Plus de scolarité
Si les individus bilingues génèrent plus de revenus que les unilingues, ce serait notamment parce qu’ils sont en moyenne plus scolarisés, selon l’ACUFC.

Les ressources bilingues sont beaucoup plus nombreuses à détenir un diplôme universitaire que les anglophones ou les francophones.



L’ACUFC observe que, dans toutes les provinces hors Québec, la plupart des bilingues ayant terminé leurs études postsecondaires choisissent de suivre un programme en administration des affaires ou en administration publique, des domaines dans lesquels, note l’ACUFC, le bilinguisme est un atout. 

Dans son rapport, l'Association des collèges et universités de la francophonie canadienne note également que les bilingues ont tendance à étudier plus longtemps et sont capables d’obtenir des emplois mieux rémunérés.








Nouvelle approche des Évaluations d’échanges Efficacité plutôt que valeur au livre



Nouvelle approche des Évaluations d’échanges
Efficacité plutôt que valeur au livre
Source : Jim Leman, Correspondant
Deux concessionnaires ont échangé leurs pratiques de reprise contre un nouveau modèle. 
Le nouveau modèle est basé sur des ratios évaluation / livraison qui vendent plus de voitures et génèrent davantage de revenus de services et de dépenses administratives et institutionnelles.
Ils appellent cela l'efficacité de l'évaluation de la stratégie.
«Je souhaite évaluer chaque voiture, qu’il s’agisse d’un échange, d’une vente privée, de voitures sur la voie de service - ou de relances téléphoniques et de prospects Internet - car je souhaite que les clients fassent des affaires avec nous. Beaucoup de choses se passent en aval lorsque nous achetons une voiture, et comme nous comptons moins sur les enchères, notre coût par vente diminue », a déclaré David Simches, directeur du groupe de véhicules d'occasion du groupe Crown Automotive, à St. Petersburg, en Floride.
La prémisse est que les pourcentages croissants dans le look-to-book ne se traduisent pas par une augmentation des ventes de voitures - ou des revenus en aval.
"Rechercher dans le livre vous donne une fausse idée de ce qui est bon", a déclaré Ed French, membre du conseil d'administration de TruWorth Auto, avec des bureaux à Indianapolis et à Kokomo.
"Un concessionnaire évaluant 10 véhicules et négociant pour sur cinq, le ratio de recherche dans le livre est de 50%, ce qui laisse le responsable de la voiture d’occasion s’interrompre pour dire:
«Nous nous en sortons très bien». Mais si vous évaluez 20 voitures et que vous en reprenez cinq, est-ce bien? Non, non ce n'est vraiment pas le résultat recherché. "
En tant qu'outil de gestion, la recherche dans le livre manque de précision, a indiqué French. 
Il repose sur les humains et leurs erreurs de jugement. 
Il met l'accent sur la marge commerciale par rapport au potentiel de revenus en aval. 
Oublier ou négliger de rendre compte de chaque opportunité d’évaluation, qu’il s’agisse d’une relance téléphonique ou de prospects en ligne, crée de faux indicateurs de look-to-book.
Un ratio évaluation-livraison est une mesure plus précise et plus significative et permet une meilleure efficacité de l'évaluation, disent-ils.
Selon Simches, une stratégie commerciale d’efficacité de l’évaluation met l’accent sur une petite victoire qui protège les recettes brutes que chaque échange présente. 
«Dans le marché transparent d'aujourd'hui, pourquoi ne pas donner au client ce que vaut la voiture - qui sait, ce type pourrait nous acheter une voiture», a-t-il déclaré.
French, qui conseille également les concessionnaires indépendants et franchisés en tant que président d’AutoProfit Automotive Consulting, encourage les concessionnaires à mesurer leurs ratios et leurs ventes afin de déterminer dans quelle mesure l’efficacité de l’évaluation permettrait de combler cet écart. Il a travaillé avec Simches pour mettre en place cette nouvelle métrique chez Crown.
L’efficacité de l’évaluation minimale de Simches est de 150 évaluations pour 100 livraisons. 
«Un concessionnaire qui recherche activement ou négocie ses activités devrait atteindre un ratio évaluation / livraison optimal de 2 pour 1.
Lorsque j'augmente le nombre d'évaluations, je vends plus d'unités», a-t-il déclaré, ce qui est en nette augmentation par rapport à l'année précédente.
«Je veux que les échanges alimentent les ventes en gros et au détail. Il s'agit de passer d'une entente plus brute à un accord à la protection de l'actif déjà existant. 
Si notre industrie pense que la vente au détail numérique va fonctionner avec une sous-autorisation des transactions, nous nous sommes trompés », a déclaré Simches.
Ce modèle d'évaluation de la livraison s'applique aux transactions que le magasin ne souhaite pas revendre au détail .
«Si je peux donner à quelqu'un seulement 500 dollars pour son échange et revendre la voiture en gros pour 800 dollars, pourquoi ne voudrais-je pas ce cet échange? 
Ce genre d'accord a une valeur inestimable pour moi. Tout le monde veut faire l'échange, mais le succès passe par de nombreuses bouches a nourrir », a déclaré Simches.
Le sujet des évaluations a été abordé lors d’un atelier de voiture vAuto d’occasion à Chicago en octobre. 
Le modérateur, Jim Tritz, directeur de la gestion de la performance chez vAuto, a demandé aux concessionnaires présents:
  • Pourquoi manque-t-on des évaluations?
  • La valeur que nous avons offerte pour l’échange a-t-il vraiment un sens selon les chiffres?
  • Pourquoi cet échange a-t-il échoué?
Il a ajouté que les concessionnaires et marchands qui notent soigneusement chaque transaction, y compris;
·      la ou les évaluation (s) qui leurs sont offertes,
·    la source de l'évaluation
·    et l'estimation du reconditionnement
dispose des informations nécessaires pour comprendre la raison pour laquelle une transaction a échoué.
Tritz a suggéré aux concessionnaires de considérer les demandes d’évaluation par téléphone et par Internet comme des occasions d’évaluation authentiques. 
Ce faisant, a-t-il ajouté, le taux moyen de consultation de ces sources par le revendeur serait passé de 10 à 15% en moyenne, passant ainsi de moins de 10% à plus de 35%. 
Il a déclaré que l’offre globale versus la valeur au livre devrait être d'au minimum 54%.
Pour identifier une recherche de valeur au livre, incluez vos propres enregistrements d'évaluations dans votre CRM. 
Identifiez les offres d’échanges qui ont été complétés directement de votre outil de gestion d’inventaire. 
Et finalement, divisez ce nombre par le nombre totales de transactions qui ont menés à une reprise.
French a mis les concessionnaires en garde de surveiller les dangers liés au look-to-book. 
«Le look-to-book est facile à manipuler, car vous devez intégrer chaque évaluation dans l'outil de gestion des stocks d’occasion, et ces transactions doivent être complétés quelles se soient soldés par un achat ou non.
Il est très tentant pour les évaluateurs de ne pas enregistrer les évaluations des véhicules qu’ils ne veulent pas prendre en échange pour la revente ou le gros afin que mes statistiques de look to book (ratio évaluations versus achats) apparaissent mieux qu’ils ne le sont en réalité.
"La vérité doit être basée sur un nombre non manipulable, et le nombre total d'unités livrées, telles que nous les avons utilisées pour mesurer l'efficacité de l'évaluation, n'est pas un nombre manipulable", a déclaré French.


mardi 27 novembre 2018

TESLA Chute drastiques des ventes de véhicules en Chine Les actions de Tesla en baisse




TESLA
Chute drastiques des ventes de véhicules en Chine
Les actions de Tesla en baisse

Source : Reuters

Les ventes de véhicules de Tesla en Chine ont chuté de 70% le mois dernier par rapport à l'année dernière, a déclaré mardi à Reuters l'association de voitures de tourisme du pays, soulignant les conséquences de la guerre commerciale sino-américaine.

Le cours de l'action de Tesla a chuté de 1,8% mardi matin à la suite du rapport publié le jour ouvrable en Asie.

Quelques heures plus tard, la société a réagi depuis son siège en Californie, appelant le rapport du groupe «extrêmement inexact».

Un responsable de la China Passenger Car Association (CPCA) a déclaré que les données de l'organisme de l'industrie indiquaient que Tesla n'avait vendu que 211 voitures sur le plus grand marché automobile du monde en octobre.

Les représentants de Tesla en Chine n'ont pas répondu aux appels répétés et aux demandes écrites de commentaires émises lors de la journée de travail en Asie.

Plus tard, un porte-parole basé en Californie a publié une déclaration indiquant que Tesla avait contesté les données de l'ACIPR, mais qu'il n'avait pas fourni de chiffres de vente internes.

«Ceci est extrêmement inexact. Bien que nous ne divulguions pas les chiffres des ventes régionales ou mensuelles, ces chiffres sont largement inférieurs », a-t-il déclaré.

Le constructeur de voitures électriques, qui importe toutes les voitures vendues en Chine, a déclaré en octobre que les hausses de tarifs douaniers sur les importations d'automobiles avaient un impact négatif sur ses ventes dans ce pays.

En juillet, Beijing a relevé les droits de douane sur les importations de véhicules automobiles américains à 40%, alors que l’impasse commerciale s’aggravait avec les États-Unis.

Alors que les ventes de véhicules à énergies nouvelles ont continué d'augmenter en Chine, les ventes d'automobiles ont fortement ralenti depuis le milieu de l'année, amenant le marché au bord de la première contraction de ses ventes annuelles en près de trois décennies.

Tesla, dirigé par le PDG  milliardaire Elon Musk, a annoncé la semaine dernière qu'il baissait le prix de ses voitures modèles X et S en Chine dans le cadre d'un changement de stratégie visant à rendre les voitures "plus abordables" et à absorber davantage l'impact des hausses de tarifs.

Tesla a récemment sécurisé le site de sa première usine à Shanghai en Chine, ce qui l’aidera à éviter les taxes à l’importation très élevés.