DealerTrack Canada, tout pret d'offrir le 100 % numérique au Canada

 

 

Source: Joe Overby, Auto Remarketing Canada

 

·        Lors d’une entrevue téléphonique au mois de mai, on a demandé à Richard Evans, Vice-Président et directeur général de DealerTrack au Canada à quel point les consommateurs Canadiens étaient prêt d'être en mesure d'acheter une voiture 100 % en ligne.

 

·        Evans a déclaré que la compagnie n'était «pas prête à fixer un échéancier précis» quant au moment où le Canada, en particulier, serait en mesure d’offrir les transactions automobile au détail entièrement automatisé et en ligne, «mais nous le voyons venir à grand pas et très rapidement».

 

·        Il a ajouté: «nous pensons que cela devrait se produire très rapidement.» Le commerce automobile digital se faufile à grande vitesse dans le marché.

 

·        Et je pense que la partie la plus importante et excitante dans tout cela est que la demande des consommateurs est déjà là.

 

·        Grâce à ses propres données et aux résultats externes à l'étude de marché effectué par DealerTrack l’entreprise a constaté que ce n'est pas seulement les consommateurs qui vont bénéficier du commerce digital à 100 % en ligne mais d’abord et surtout les concessionnaires et les marchands automobile aussi.

 

·        «Nous nous sentons donc très confiants que nous nous dirigeons dans la bonne direction», a déclaré Evans.

 

·        Cette démarche a fait un grand pas en avant cette année, lorsque DealerTrack Canada a fait équipe avec Trader Corp. pour lancer une plateforme de communication de transactions pour les concessionnaires automobiles canadiens.

 

·        Cela faisait partie d'un partenariat afin de «combler l'écart entre l'expérience des consommateurs en ligne et en magasin tout en permettant la transformation de la vente au détail automatique par le biais des technologies d'achat de voitures connectées», ont déclarés les responsables des deux entreprises Canadiennes dans un communiqué en février.

 

·        «Dans tous les autres aspects de l'environnement de vente au détail, qu'il s'agisse du secteur de l'électronique, que ce soit le secteur de l'amélioration domiciliaire, nous nous dirigeons vers la distribution numérique complètes dans chacun de ces secteurs», a déclaré Evans.

 

·        «Nous (l'industrie automobile) utilisons le terme «vente au détail numérique» et nous nous l’approprions pour le secteur de l'automobile comme si nous avons en quelque sorte pris le contrôle sur cet aspect du commerce, mais le commerce numérique a déjà commencé à transformer sérieusement à peu près tous les autres secteurs de l’économie Canadienne et étrangère a-t-il ajouté.»

 

·         "je pense simplement que le domaine de l'automobile viens tout simplement de le découvrir et y accède à grand pas afin de reprendre le temps perdu sur les autres secteurs de l’économie numérique."

 

·        Et nous utilisons le terme de vente au détail numérique afin de le qualifier; mais le commerce de détail numérique est déjà là, les consommateurs l'utilisent déjà, c'est vraiment uniquement une forme de rattrapage que l’automobile effectue face à cette nouvelle façon de faire des affaires qui est là pour rester.

 

·        Il a ajouté que «nous ne pensons pas que nous soyons en avance» dans le lancement des outils numérique comparativement à certains autres secteurs du marché, bien au contraire.

 

·        "nous allons où le marché est." Le marché nous dit ce qu'il veut et où il se trouve et nous serons là aussi.

 

·        «Le commerce digital est plus que pertinent pour les concessionnaires il est primordial et, finalement, nous voulons dans l'avenir devenir l’un des secteurs fer de lance du marché au niveau de ce type de commerce», a déclaré Evans.

 

·        «Nous pensons que le commerce complètement digital est là où nous en tant que secteur important de l’économie devons être afin de continuer de survivre et de prospérer dans l’avenir.»

 

·        Il y a certainement d’énormes défis, qui font face à la mise en place complète du E-Commerce automobile.

 

·        L’un d’entre eux en particulier, a trait à l'intégration dans une toile d'araignée de divers systèmes, plates-formes et joueurs dans l'entreprise automobile.

 

·        «faire ce type de travail dans un environnement tout neuf ou aucun autre intervenant n’existe déjà et ne doive être intégré est beaucoup plus facile.»

 

·        Si vous avez une feuille de papier vierge et vous dites, «OK, vous pouvez contrôler toutes les variables, puis faire du commerce électronique dans l'automobile c’est assez simple.» Les outils sont tous là. Mais nous évoluons tous dans des environnements différents peuplés d’outils et de méthodes diverses qui doivent être adaptés et centralisés afin de n’offrir qu’un seul service convivial et transparent à la fois pour le client et pour le concessionnaire, dit-il.

 

·        «ainsi, le grand défi et la limitation que nous rencontrons a prime abord est celui de la saisie et de l’intégration des nombreuses données.» Et c'est définitivement le plus important défi dit Evans.

 

·        Tenez compte de toutes les itérations des produits DMS, des systèmes CRM, des prêteurs, automobiles, des nombreux fournisseurs du marché et des différents outils commerciaux.

 

·        «afin de créer une expérience de de vente au détail numérique automobile sans couture, vous devez tirer toutes ces sources de données et intégrer toutes ces plates-formes ensemble afin de les finaliser en une seule transaction», dit-il.

 

·        «ainsi, le rôle centralisateur offert par Cox Automotive, solution dont DealerTrack fait partie intégrante est de se concentrer sur le fondement;» «C'est ce centre de données, et l'intégration qui peut ensuite être exposée aux concessionnaires d'une manière qu'ils peuvent utiliser facilement et rapidement dans leurs magasins, et sur leurs sites Web.»

 

·        Evans a déclaré que les concessionnaires sont les mieux équipés pour gérer le commerce électronique automobile, mais il a souligné ils ne pourront fort probablement pas le faire tout seul.

 

·        Cela dit, les concessionnaires ne devraient tenter de ralentir l’adoption et l’adaptation au commerce digital à 100 %  au sein de leur organisation, même si le défi d'intégration semble important, la récompense est la et les clients aussi…

 

·        «Nous pensons que les concessionnaires sont les mieux-positionnés», a déclaré Evans. «ils en savent plus sur la vente de voitures sur le marché canadien que n'importe qui d'autre.»