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Optimisation des Bonnes pratiques de reconditionnement de véhicules d’occasion.

Source : Richard R. Lépine, Gestionnaire de Performances, vAuto.

• Le degré auquel le concessionnaire reconnaît que le temps consacré à la remise en état se traduit par des profits potentiels perdus, et la mesure avec laquelle un revendeur implémente et surveille les processus qui reflètent la réalité du « time is money » de la vente au détail.
• Les cinq meilleures pratiques afin de minimiser les retards et de maximiser les profits sur le reconditionnement de chaque véhicule d'occasion :

1- Identifier et wholesaler les véhicules a problème lors de l'acquisition.

• Cela semble évident, mais certains revendeurs et leurs acheteurs perdent leurs objectivités et leur discipline lors de l’acquisition lorsqu’ils sont confrontés à des lacunes dans leurs inventaires de véhicules d'occasion.

2- Déterminer la stratégie de sortie de chaque voiture tout de suite.

• Cette meilleure pratique va main dans la main avec celui mentionné ci-dessus — c'est-à-dire, les concessionnaires ne devraient pas faire l’acquisition de véhicules aux enchères n’ayant pas de rapport de condition ou ne démontant pas une évaluation permettant une revente rapide

3- Mettre en place une « approbation automatique » pour la remise en état.

• Cette meilleure pratique permet de minimiser les retards causés lorsqu'un gestionnaire de véhicule d'occasion ne peut pas prendre le temps de réviser tous les bons de travail afin d’approuver ou non, les travaux de remise en état en temps opportun.

4- Faire de la vitesse du reconditionnement une priorité.

• Pour certains commerçants, cela signifie d’arrêter de toujours faire un bras de fer entre les directeurs de service et les gestionnaires, qui considèrent souvent les clients externes comme une priorité plus élevée.

5- Chercher, Identifier et mettre en place des façons de réduire les coûts.

• Au-delà des décisions axées sur le profit qui guident la portée de la remise en état des travaux sur les véhicules individuels, un nombre croissant de revendeurs se penchent sur leurs coûts de main-d’œuvre et les pièces internes pour alléger la pression sur leurs marges.

Conclusions :

• Ces cinq méthodes sont de solides mesures que les concessionnaires peuvent prendre pour aider à accélérer le temps nécessaire pour obtenir leur véhicule dans leur salle de montre.
• Cependant, les concessionnaires devraient également reconnaître que, dans le marché actuel, il y a vraiment deux lignes de front, le physique et le virtuel.

La vitesse requise pour obtenir la ligne de front physique des véhicules doit être mesurée en heures et la présence du véhicule en ligne doit être mesuré