Un indicateur
de performance TRÈS important
Votre taux de
vente véhicules d’occasion vs. Véhicules neufs
Source : DALE POLLAK, fONDATEUR DE VAUTO
Quand j'étais
concessionnaire, nous pensions que nous faisions du bon travail si nous avions
un ratio de ventes de véhicules usagés de 0,5: 1.
Si nous vendions 50
nouvelles Cadillac par mois, je m'attendais à ce que nous vendions également 25
unités usagées, qui étaient presque toujours des Cadillac.
Un article récent d’Automotive
News suggère que, puisque j'étais concessionnaire il y a 20 ans, le
ratio des ventes de véhicules neufs à neuf n'a pas beaucoup changé, malgré le
fait que la plupart des concessionnaires expriment le désir de vendre plus de
véhicules d'occasion pour compenser la compression de marge croissante dans
leurs opérations variables.
Alors qu'est-ce que
ça donne?
Pourquoi les
concessionnaires n'ont-ils pas été en mesure de réaliser des gains plus
importants dans les véhicules d'occasion?
Quels facteurs
connus / inconnus pourraient les retenir?
Ce sont les
questions qui me viennent à l'esprit en lisant l’article d’Automotive News.
Il a mis
l'accent sur les ratios d'utilisation de véhicules neufs parmi ses 100
principaux groupes de concessionnaires.
Moins de 20
groupes-18, pour être exact, ont atteint un ratio de 1: 1 utilisé-à-neuf et,
parmi ceux-ci, seulement neuf ont atteint un ratio de 1: 25: 1.
Mon collègue de Cox
Automotive, Les Abrams, partage mon point de vue selon lequel, pour les
concessionnaires d'aujourd'hui et le marché des marges comprimées, un ratio de
1: 1 suggère que vous faites un «bon» travail et un rapport de 1: 25: 1 bon
travail.
Ces niveaux de
performance vous aident à éclairer ce que j'ai longtemps appelé la «roue de la
fortune» chez votre concessionnaire - la marge de profit brute que représente
chaque vente de véhicules d'occasion pour votre service des pièces, votre
bureau de F & A, oui, pour votre nouveau département de véhicules.
Mais ces niveaux de
performance supérieurs semblent insaisissables.
Les données de
l'Association nationale des concessionnaires d'automobiles (NADA) montrent que
si le ratio d'utilisation de véhicules neufs a légèrement progressé ces
dernières années, il semble s'obstiner autour de 0,75: 1.
Au cours des dix
dernières années, j'ai eu la chance d'aider les concessionnaires à améliorer la
performance de leurs véhicules d'occasion, en les encourageant à faire du ratio
1: 1 un objectif prioritaire.
Mon travail m'a
aussi permis de voir et de comprendre pourquoi certains concessionnaires ont du
mal à faire tourner la roue de la fortune plus vite dans leurs magasins.
Voici trois
facteurs communs qui diminuent la performance des véhicules d'occasion:
Une mentalité de profit
‘’front-end’’ vs "marge brute totale".
J'ai longtemps fait
valoir que le marché d'aujourd'hui est trop efficace et transparent pour que
les concessionnaires obtiennent les bénéfices bruts initiaux qu'ils croient que
leurs véhicules d'occasion devraient livrer. Ils sont frustrés et ils redoublent
d'efforts pour mettre en place une stratégie «soyons grossiers».
Malheureusement, le
marché d'aujourd'hui n'est pas susceptible de récompenser les stratégies traditionnelles
de mise en marché du bon vieux temps, telles que l'attente du bon acheteur, ou
la fixation de vos prix demandés au-dessus du marché.
Les deux tactiques
se traduisent par des unités plus âgées, des spiffs et des escomptes plus
«sortis d'ici» et moins de rentabilité globale. Ces tactiques ralentissent
également la roue de la fortune.
La meilleure façon,
je crois, est que les concessionnaires devraient adopter une mentalité brute
totale plus axée sur l'investissement.
Avec elle, les
concessionnaires apprennent à prendre les pertes et les contrats à faible
chiffre d'affaires dans la foulée. Leur montant brut moyen est
important.
Mais il est encore
plus important de transformer les stocks de véhicules d'occasion pour générer
des rendements toujours plus élevés dans tous les départements.
Révision de vos
choix de stocks d’occasion pour la revente.
Certains
concessionnaires sont très pointilleux sur les véhicules d'occasion qu’ils désirent
vendre au détail.
Ils vont souvent laisser
passer des unités que leur marché recherche en faveur de ceux qu'ils préfèrent
vendre.
Dans une certaine
mesure, cette réflexion a du sens, compte tenu des désirs du revendeur pour la
différenciation et la spécialisation.
Mais les
détaillants de véhicules d'occasion les plus performants ont depuis longtemps
abandonné leurs préférences en faveur du marché et des données financières qui
affirment qu'ils peuvent rapidement vendre un véhicule et gagner de l'argent
s'ils l'acquièrent pour la revente.
Un autre point
connexe:
Certains
concessionnaires font face à des pressions exercées par les manufacturiers pour
atteindre des objectifs de volume de vente d'occasion certifiés, ce qui peut monopoliser
leur capitaux et leur gestion vers différents
stocks.
Afin d’être sûr,
les concessionnaires doivent souvent jouer aux devinettes avec le manufacturier.
Mais
souvenons-nous: c'est votre partie et votre terrain de jeu.
Processus inefficaces.
Chaque département de
véhicules d'occasion est composé de plusieurs pièces mobiles et de processus
différents, dont chacun affecte l'autre.
Chaque fois que
j'entends un concessionnaire partager sa lutte pour améliorer la vitesse de
vente de ses stocks et son tour, nous allons souvent découvrir des
inefficacités inutiles avec les évaluations, reconditionnement, merchandising
et tarification.
Les
concessionnaires doivent reconnaître que dans le marché plus efficace
d'aujourd'hui, le délai de mise sur le marché et le temps passé sur le marché,
ils doivent être comprimés pour maximiser la performance et la rentabilité.
J'espère que cette
discussion vous aidera à évaluer où se situe votre ratio actuel d'utilisation
par rapport aux véhicules neufs et à élaborer les prochaines étapes pour
améliorer la performance de votre véhicule d'occasion au cours des derniers
mois de cette année.
Après tout, dans le
marché impitoyable d'aujourd'hui, si vous ne vous améliorez pas malheureusement
votre compétition elle le fera…
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