samedi 30 septembre 2017

L’apport du digital learning dans la diversification des activités de distribution


L’apport du digital learning dans la diversification des activités de distribution

Source: , Auto Info.com

  • Si depuis longtemps nous constatons un décalage entre les compétences des candidats disponibles sur le marché et le besoin réel des entreprises sur le terrain, la digitalisation des fonctions et les nouveaux métiers qu’elle va engendrer accélère les besoins en formation de tous.

  • Beaucoup de dirigeants d’entreprises envisagent des pistes de diversification répondants aux nouveaux besoins identifiés des clients mais pensent à court terme manquer de « bras » pour les mettre en œuvre. 

  • Selon la plupart le rêve serait une offre de formation en juste-à-temps, en juste-assez, avec un souci d’individualisation maximum et une mesure instantanée d’efficacité qui permettrait à un collaborateur de répondre sans crainte « pas encore » au lieu d’un timide « non » à une question du type « savez-vous faire telle ou telle opération technique ? »

  • Récemment la formation a été sensiblement régénérée grâce au digital. 

  • En trois ans le « digital learning » s’est imposé comme un levier de la réorientation des modalités de formation, mais aussi des façons de piloter, d’organiser, de mesurer et de penser la formation elle-même. 

  • Certains pourront dire que beaucoup de concepts traduisent davantage une différence dans l’approche marketing mais certaines de ces nouvelles approches ont su régénérer l’offre statique des années 2000. 

  • MOOC, mobile-learning, micro-learning, social-learning, réalité virtuelle et leurs applications font encore trembler les murs de la salle de cours. 

  • Le digital est en train de bouleverser les stratégies de formation, de modifier les métiers de la sphère pédagogique et de décloisonner les bases de données de documentation pour aboutir à une formation fluide et plus protéiforme. 

  • La formation est l’un des principaux leviers de la transformation digitale des organisations et ce d’autant plus si elle sait se mettre au service d’un apprenant dont les attentes se transforment par ses propres pratiques numériques quotidiennes.

  • Les approches financières de ces dispositifs sont aussi à faire évoluer. 

  • Il sera nécessaire de raisonner plus en termes d’investissement sur la base de nouveaux modèles économiques et d’intégrer la dimension de service par un accompagnement nécessaire à la réussite des initiatives. 

  • Les responsables de formation devront choisir ce qui est internalisable et ce qui doit être sous-traité, sourcer les acteurs du marché, les évaluer, comprendre les outils, leurs apports, leurs contraintes et leur pérennité et distinguer l’effet de mode du changement profond.

  • Les technologies digitales nous poussent encore à nous interroger sur la façon dont nous apprenons le mieux certains savoirs seul ou avec les autres. 

  • De nouvelles études décrivent comment notre cerveau apprend et amène à revoir les pratiques pédagogiques. 

  • La pédagogie sociale, collaborative, les communautés apprenantes font évoluer les perceptions au travers des réseaux sociaux, de l’apprentissage entre pairs ou encore de la construction collaborative des savoirs. 

  • Les responsables de formation devront aussi évaluer les différentes approches, éprouver les concepts, les tester et décider s’ils sont adaptés à leurs organisations ou plutôt comment leurs organisations vont devoir se transformer pour se les approprier avec succès. 

  • Car il ne s’agit plus de faire « numérique » par simple effet de mode mais de viser une efficacité accrue au service du nouvel apprenant pour l’armer au service du client final.

  • La transformation digitale de nos modes de formation accélérera l’interconnexion de la formation et des technologies et vice versa.


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